lundi 3 octobre 2011

Qui gourverna le Canada durant la prochaine récession?

Les États-Unis ne savent pas quoi faire en ce qui concerne la manière de réduire la dette écrasante et ses chômages élevés. De plus, le problème de dette de la souveraine Européenne s’aggrave à chaque jour. C’est seulement une question de temps avant que la plus grande économie du Canada commence à ressentir l’impact sur la croissance, les emplois et les revenus du gouvernement. D’aucun penserait qu’étant donné les preuves de montage  et des temps difficiles à venir, Dalton McGuinty, Tim Hudak et Andrea Horwath, les trois ministres de la campagne électorale, seraient prêts à débattre la question durant leur campagne. Au contraire, ils semblent vouloir éviter cette situation problématique…pour l’instant. Quel ministre serait donc le plus apte pour faire face à cette crise économique? À mon avis, Dalton McGuinty ne répond pas aux critères requis pour devenir ministre et je suis complètement en désaccord avec R. Michael Warren, un écrivant du Toronto Star. Autrement dit, ce qui me désole et me révolte, c’est que nos « ministres » ne pensent qu’à remettre les problèmes à plus tard.

D’abord, je trouve que l’appui de la taxe de vente harmonisée (TVH) est complètement banal. Cette taxe a pris effet en Ontario le 1er juillet 2010, remplaçant la taxe fédérale sur les services (TPS) ainsi que la taxe de vente provinciale (TVP). Il m’attriste de voir une province d’une telle beauté avec tant de cultures diverses et de ressources vastes et pourtant, tellement de corruption, à cause de notre propre gouvernement mal élu de Dalton McGuinty. Présentement, les familles doivent payer plus pour de nombreux produits et marchandises. En plus, depuis qu’il est devenu ministre de la province, l’Ontario a perdu plus de 300 000 d’emplois rémunérés et est tout dernier dans la création des emplois au Canada. Il n’est pas qualifié pour contrôler notre province car il est trop égoïste et ne se soucie pas des habitants. Sa taxe affecte gravement d’innombrables personnes à travers le Canada, toutefois,  il affirme que son intention est d’aider au développement scolaire, aux soins de santé et à la qualité de vie. McGuinty a même augmenté les dépenses gouvernementales de 80% ($50 billions), sachant que l’économie de l’Ontario a seulement augmentée 10%. Il est évident qu’il ne dépense pas l’argent d’une façon efficace.

Par ailleurs, je crois que Tim Hudak, chef du parti conservateur, serait une élection plus avantageuse car il veut complètement éliminer la TVH de Dalton McGuinty, en commençant par le chauffage dans les maisons. Hudak a récemment visité plusieurs maisons pour discuter les défis que les familles doivent faire face sous le control de McGuinty. “The families I meet have had enough, and I agree. It’s time for a change. It’s time they had a government that recognizes the challenges they face in 2011; that lives within its means, just like they do; and that respects how hard Ontario families work and how much they already pay”, annonce Hudak. Même si Tim semble être le dirigeant idéal à choisir, il reste encore une femme en tête qui, elle aussi, promet d’éliminer la dette de McGuinty par 2017-2018. Elle se nomme Andrea Horwath, chef du parti NDP de l’Ontario. Elle promet de couper en deux le prix de la TVH sur l’essence. En mon opinion, chacune des idées presentées par Hudak et Horwath sont supérieures à celles de McGuinty.

En somme, puisque le déficit commercial de l’Ontario est en haute croissance et que nos deux marchés les plus grands, les États-Unis ainsi que l’Europe, se rapetissent, je suis en accord qu’il faut trouver un ministre capable de faire une différence positive. Nous pouvons approuver que la taxe de vente harmonisée de Dalton McGuinty détruit la vie de plusieurs Ontariens. Il est certain qu’on ne peut pas avoir un ministre comme lui dans un temps si crucial mais plutôt quelqu’un de plus susceptible.

Samuel Reid